Aujourd'hui, j'ai voulu goûter à tout. Au petit
Aujourd'hui, j'ai voulu goûter à tout. Au petit matin, j'ai commencé par les doigts de pieds de ma humaine. Elle dormait si bien qu'il n'a pas été difficile de contourner sa vigilance et d'entrer sous les couvertures sans son accord. Mais quand j'ai consciencieusement posé mes griffes sur l'un de ses pieds, elle s'est tout de suite réveillée, ma flanqué un coup de pied et m'a resorti aussi sec. Pour le coup de pied, je n'ai à m'en prendre qu'à moi-même, je n'aurais pas dû la surprendre. Par contre, j'aurais bien aimé retourner sous les couvertures. Elle n'a pas voulu et m'a boudé malgré tous mes ronrons pour me faire pardonner.
Au petit déjeuné, j'ai voulu goûter les chaussons de ma humaine. J'ai guetté leur venue à l'encadrement de la porte de la cuisine et me suis lancée sur eux avec force. Mais les chaussons, c'est pas des adversaires à ma taille. J'ai bien failli me faire marcher sur les pattes. Je retiendrais qu'on n'attaque pas les chaussons quand ils marchent et surtout quand il y a les pieds de ma humaine dedans.
Je suis donc partie à la recherche d'une autre proie. J'ai trouvé des bandes élastiques. C'est drôle, ça fait comme un ressort. J'ai montré à ma humaine mon magnifique trophée. Elle a été surprise que j'ai trouvé ça mais ne m'a pas grondé car elle dit que je ne risque rien. Evidemment ! J'ai mis la proie K.O. !
Eh ! Laisse moi mon élastique ! C'est moi qui l'ai trouvé !
Puis j'ai trouvé d'autres jeux tout aussi amusants : ceux de Lorient ! Vu qu'il me pique mes mini balles de tennis, il n'y a pas de raison que je fasse pas pareil ! De toute façon de grand poilu me cède tout : son matelas, ses jeux, sa gamelle d'eau (que je prefère à la mienne) et sa gamelle de Frolic. La dernière fois, je me suis retrouvée avec mes quenottes coincées dans un Frolic. Du coup, maintenant, je préfère les lui laisser, c'est trop mou et trop gros. A présent, je préfère lui piquer les miettes des Frolic qu'il a mangé, c'est plus simple. Mais ne vous inquiétez pas, je mange toujours mes croquettes à moi et Lorient ne me les pique pas car il ne les aime pas.
Tu es peut-être un gros jouet, ça ne m'empêchera pas de t'attraper !